BIOGRAPHIE DE JJG

                                    

Jean-Jacques Goldman est né à Paris au mois d’octobre 1951 de parents juifs immigrés. Moïshé Goldman son père originaire de Lublin en Pologne rencontre Ruth Ambrunn, la mère de Jean-Jacques originaire du Munich, à Lyon. C’est à Montrouge en région parisienne qu’ils iront s’installer après la guerre.  Très jeune Jean-Jacques suit un apprentissage de violon classique et de piano (pendant 10 ans), mais il va aussi chez les scouts avec lesquels il découvrit pour la première fois les Etats-Unis.

      

 

Vers 1963-64  à l’écoute de Think par Aretha Franklin, Jean-Jacques est subjugué. Le mouvement R&B de l’époque le touche énormément, il se trouve alors une vraie passion de la musique tandis que chez lui ce n’est pas un centre d’intérêt à part quelques chants révolutionnaires. C’est à ce moment que JJ se met à la guitare et range son violon (mais pas pour toujours, au grand plaisir de nos oreilles).

       

A l’école JJ est un élève fantôme mais modèle, dans le sens où il fut tellement calme que ses professeurs ne se souviennent pas du tout de lui. Il fait partie évidemment de la chorale et c’est quelques temps après qu’il rejoindra son premier groupe, lequel en formation, recrute JJ en tant qu’organiste. En 1966 le prêtre de l’église dans laquelle se produisait le groupe, croyait en eux et leur a offert la possibilité d’enregistrer un disque sous le nom des Red Mountain Gospellers (pochette ci-dessus). Ce disque fut vendu à la fin des messes, et constitua la première expérience en studio de JJ qui jouait de la guitare, de l’harmonica et de l’orge.

 

C’est alors que commencent les années-lycée, bonnes pour JJ, qui parallèlement achète sa première guitare d’occasion et forme un groupe de rock les Phalensters Dans ce groupe il est guitariste et seconde voix. Les Phalensters se produisent fréquemment au Golf Druot. Ces prestations constituèrent les premières scènes de JJ qui par la suite sera très affecté sur ce plan, étant même amené à prendre des médicaments pour vaincre le traque.

          

En 1969 le bac D en poche, Jean-Jacques fait un prépa HEC tout en continuant avec les Phalensters mais aussi il se produit dans les bals pour d’autres groupes en tant que remplaçant. En 1971 il intègre l’EDHEC de Lille une très grande école. En trois ans il décroche son diplôme de l’EDHEC mais aussi une maîtrise de sociologie. Côté musique il travaille le chant en anglais avec un pote bassiste et se produit dans les MJC. Mais c’est quelque temps après, à un concert de Léo Ferré, que JJ comprend que l’on peut aussi bien chanter en français et provoquer des frissons chez le public.

Après ses diplômes JJ revient à Paris et en 1974 c’est le service militaire. Il reprend ensuite avec son frère Robert le magasin de sports de ses parents.

            

En 1975 Jean-Jacques rencontre les frères Maï, l’un guitariste et l’autre bassiste, chez des amis. Cette entrevue va donner naissance au groupe Taï Phong composé de 5 membres, un batteur et un pianiste les ont rejoins. Leur musique est un style dans le vent : c’est du rock symphonique. Le groupe fait une maquette qu’il présente à plusieurs maisons de disques. C’est avec la Warner que Taï Phong signe. JJ chante, joue de la guitare et du violon. C’est avec le second extrait de leur premier album « Sister Jane » que le groupe perçe. Mais pas question pour ces membres d’abandonner leur boulot. En 1976 ils sortent leur deuxième album « Windows » qui est un vrai échec. C’est alors que le groupe se sépare.

         

Goldman se lance dans une carrière solo et sort trois 45 tours (« C’est pas grave papa » , « Les nuits de la solitude » , « Back to the city again » ) qui passeront inaperçus. En 1979 un troisième album d’un  Taï Phong remanié :« Last Fly » subit le même sort que le second, mais on note que le chanteur est un certain Michaël Jones (un gallois) remplaçant JJ, qui après le second album ne voulait pas suivre le groupe dans les tournées. Mais ce dernier était quand même de la partie, en tant que guitariste sur cet album.

              

En 1980 Taï Phong est définitivement mort et Jean-Jacques est désormais marié et père de trois enfants. Il se pose alors en auteur-compositeur. C’est alors qu’une jeune interprète de ces chansons remporte un jeu télévisé. Un certain Marc Lumbroso remarque la chanson gagnante et note le nom de son auteur. Une nouvelle aventure commence pour Goldman…Lumbroso demande des maquettes à JJ, qu’il présente à diverses maisons de disque. C’est avec Epic que Jean-Jacques signe pour cinq albums. En route pour le premier…

       

A l’automne 1981 ce dernier sort, mais il est éponyme car JJ voulait le nommé Démodé mais cela ne convenait pas au directeur de Marketing, cela se comprend aisément dans ce milieu. Cet album contient onze titres, et c’est « Il suffira » qui rencontre un énorme succès (500 000 exemplaires vendus). Cet album sonne très musique anglo-saxonne du début des 70’s (on comprend ici le fameux démodé). Goldman va séduire un public relativement jeune qui se reconnaît dans ses chansons. La presse jeune s’empare très vite de son image, mais JJ donne très peu d’interview et surtout ne fait pas de scène. Le succès a enfin montré le bout de son nez mais Jean-Jacques s’adonne toujours à son magasin de sports à Montrouge.

     

A l’été 1982 c’est le deuxième 45 tours de l’album qui sort. Ce dernier ne remporte pas du tout un franche succès, et les ventes d’albums révèle que le 33 tours est un « bide » (après quelques écoutes je l’ai trouvé très bon, et je pense qu’il ne mérite pas un tel qualificatif, mais je l’emploie pour transparaître l’image qu’il a donné à l’époque). Mais il est enfin temps de livrer un deuxième album. Il est précédé d’un premier 45 tours paru en septembre : « Quand la musique est bonne » qui va être un vrai carton et qui va s’emparer très rapidement de la première place des hit-parades. Fin 1982 JJ quitte le magasin de sport de ses parents, ayant comprit qu’il pouvait vivre de sa passion.

           

Le deuxième album de Jean-Jacques Goldman sort en 1983, et en février c’est encore un gros carton avec le second extrait : « Comme toi » qui a eu le même parcours que le précédent 45 tours. Cette chanson nous plonge dans l’univers des camps de concentration et montre à une jeune fille toute la chance qu’elle a de vivre à son époque.(la version du Zénith 95 me laisse de glace à chaque écoute, un grand moment). Le succès est au rendez-vous et l’album (que JJ voulait nommé minoritaire, mais qui ne le sera pas pour les mêmes raisons que le précédent)  est considéré comme plus abouti que le premier. Le style Goldman est né. Le troisième simple sera « Au bout de mes rêves » et fera lui aussi la première place des hit-parades.Il suivra « Veiller tard » qui aura su aussi séduire le public.

    

Il serait alors temps pour notre chanteur national de monter sur scène, ce qu’il ne veut pas et ce qui est pour lui presque contre nature. Mais il doit franchir ce pas, et il le fait ,après l’enregistrement de son troisième album en novembre 1983, pour le public qui lui est fidèle.

     

En janvier 1984 paraît donc le troisième opus de JJ et celui-ci porte enfin un nom « Positif » et c’est « Encore un matin » qui sera le premier extrait, très diffusé, et n°1. L’album, lui, est dans les mêmes tons que les précédents et il est le fruit de la collaboration avec des musiciens de marque. Goldman monte du 26 mars au 1er avril 1984 sur les planches de l’Olympia et sa peur de la scène semble disparaître petit à petit. En juillet c’est au tour de « Envole moi » d’occuper la première place des hit-parades et surtout c’est le premier titre de JJ qui aura un clip vidéo. En octobre « Long is the road (Américain) » est le nouveau venu de Positif qui atteindra quand même la huitième place du Top 50 (tout nouveau).

      

En 1985 JJ vient en aide à l’Ethiopie en collaborant avec la bande de Renaud : Les chanteurs sans frontières. En juin un tout nouveau titre « je marche seul » sort. Il sera un gros tube de l’été 85 et arrivera second au Top 50. Enfin les fans n’en pouvant plus d’attendre, le quatrième album « Non Homologué » de Goldman sort. L’équipe est la même, les arrangements encore mieux et les mélodies fabuleuses. Tous ces ingrédients élèvent « Non Homologué » à la première place du Top Album. Sur cet opus on remarque un duo de JJ avec, qui donc, mais Michaël Jones celui qui l’avait remplacé au sein de Taï Phong et qui sera son complice plus tard dans Fredericks Goldman Jones. Et bien ce duo « Je te donne », vous l’aviez devinez,  est le deuxième extrait de l’album et il s’empare de la première place en quatre semaines seulement et cela huit semaines durant .

         

Nouvelle tournée qui commence au Zénith de Paris (salle désormais préférée de JJ). Ces concerts subissent les critiques journalistiques auxquelles Goldman répondra en publiant une page dans Libé avec toutes ces dernières accompagnée de la petite remarque : « Merci d’avoir jugé par vous même Jean-Jacques Goldman », ça c’est de la répartie.

                

En 1986 Coluche à besoin d’une chanson pour ces restos du cœur, et devinez qui il appelle, et oui notre JJ national, qui lui écrit la chanson des restos, désormais imprimée dans toutes les mémoires. Le comble du comble est que cette dernière rejoint « Je te donne » dans les hit-parades. Mais c’est pas fini, « Pas toi » troisième extrait de l’album entre à la troisième place dans un Top 50  comprenant aussi les deux autres chansons de JJ, le duo et celle des restos.

       

La tournée de l’été 86 nommée Veiller Tard, comprend en première partie Cock Robin. Elle est un vrai succès et nous montre un Goldman à l’aise sur scène, que la confiance a gagné.Cette tournée nous livre d’abord un 45 tours « La vie procuration » puis un double album live « Jean-Jacques Goldman En Public ». Désormais il ne sera pas une tournée sans un album live à suivre, et cela pour le bonheur des fans qui y trouvent des morceaux complètement réorchestrés, et l’intimité des concerts de JJ.

            

Mais 1986 est aussi un renouveau pour Goldman, qui se pose en auteur-compositeur uniquement de l’album de la star musicale nationale depuis 25 ans, monsieur Jean Philippe Smett alias Johnny Hallyday. En effet JJ lui écrit Gang qui triomphera avec des titres fabuleux Laura, Je t’attend, L’envie, J’oublierai ton nom, Je te promets…

            

Toujours en 1986 Jean-Jacques reçoit la distinction que tout musicien rêverait de décrocher, c’est la victoire de la musique du meilleur chanteur de l’année. Il a enfin obtenu la reconnaissance de la profession, et cela vous me direz était vraiment mérité.

          

En 1987 JJ compose un nouvel album dont le premier titre « Elle a fait un bébé toute seule » sort en juin. Ce titre présente un style différent de celui de Goldman mais cela n’empêche pas de se poster à la quatrième place du Top 50 aux côtés de « Je te promets ». En novembre produit d’un long travail, ce cinquième album que JJ concocta, fut un double (20 titres ). Cet album contient des chansons que Goldman avait mises de côté lors de ses précédents albums, ce fut la cas du premier extrait « Elle a fait un bébé toute seule ». Pour cet album JJ s’est approprié les services d’un grand batteur Christophe Deschamps, qu’il ne quittera presque plus, mais aussi de Michaël Jones et Andy Scott (qui était avant derrière Balavoine). Ce cinquième album porte le nom « Entre gris clair et gris foncé ». Il sera très vite à la première place du Top album. Côté 45 tours le duo Sirima /Goldman « Là-bas », désormais légendaire, investit la seconde place du Top 50 en 1988. Ce duo est né de la rencontre que JJ fit dans la métro parisien avec une jeune femme doté d’un voix touchante.

         

La même année JJ a entamé une tournée mondiale en se produisant au Gabon, au Togo, au Zaïre, au Kenya, au Congo, au Sénégal, en Côte d’Ivoire, à la Réunion, à l’Île Maurice et Madagascar. Le simple « C’est ta chance » sort et une tournée française commence en Avril. Le dernier titre de JJ ne marche pas vraiment mais « Puisque tu pars » vient réparer ça et atteint la troisième place. Il fait un p’tit tour en Belgique en Décembre. « Entre gris clair se sera écoulé en un peu plus d’un an à 1 000 000 d’exemplaires.

        

En 1989 c’est « Changer la vie » qui vient remplacer « Puisque tu pars » au Top 50. JJ achève un tournée de 147 dates, et pour en garder les Traces il nous sort un double album live « Traces » qui est accompagné de la sortie de la video. Le titre du live qui passera sur les ondes sera « Peur de rien blues » ( dont je ne me lasse pas d’écouter). Mais comme si il n’avait pas mérité de repos, JJ doit livrer quelques titres de la BO d’un film « L’Union Sacré ». Il en fera trois « Brother »(par Carole Fredericks future complice), « Diner Asiatique », et « Lisa ».

         

En 1990 JJ forme un groupe « Fredericks Goldman Jones » composé donc de Carole Fredericks, sa meilleure choriste ; de Michaël Jones, son ancien complice de « Je te donne » et surtout celui qui fut son remplaçant dans Taï Phong ; et bien sûr de « lui-même ». Il faut noter que ces deux artistes tournaient depuis quelques années sur les concerts de Goldman et qu’ils ont tous deux participé aux albums du « Boss ». Le premier single sort en novembre c’est le fameux « Nuit ». L’album suit le mois suivant. Les chansons y sont interprétées à deux ou à trois et sont plus modernes. On y voit une collaboration de taille entre Andy Scott et Erick Benzi aux arrangements et à la programmation. Les titres far seront « Nuit », « Un, deux, trois », « Né en 17 à Leindenstadt », « A nos actes manqués », et « Tu manques » (qui déclenche en moi plein d’émotion).

       

En 1991 première tournée sous le nom « Frédericks Goldman Jones ». Le trio fait le tour du monde ne lésant pas les Dom-Tom et autres territoires français. La même année sort le coffret intégral de Jean-Jacques Goldman composé de huit disques retraçant la discographie du chanteur de 1981 à 1990. Fredericks Goldman Jones passe dans Fréquenstar de Laurent Boyer.

                          

En 1992 FGJ livre un live « Sur Scène ». Mais ce disque a une particularité la boîte est en métal, et pourquoi ? Parce que notre cher JJ avait décidé de relancer une usine sidérurgique en faillite de Montrouge (qu’il racheta) en lui demandant de produire les coffrets de son album live. Cette opération sera répétée pour « Rouge » mais aussi « Lorada Tour» de Johnny.Le trio sort « Il suffira d’un signe » version 92 et vend des centaines de milliers de lives. Jean-Jacques s’occupe aussi des Enfoirés qui se produisent à l’Opéra Garnier au profit des restos du cœur .

         

En 1993 Patricia Kaas fait un retour filgurant avec un titre « Il me dit que je suis belle » que JJ lui a écrit sous un pseudonyme Sam Brewski, il écrit aussi pour Marc Lavoine sous un autre pseudo Cette année là les Enfoirés chantent starmania. Mais surtout en décembre 93 « Rouge » le deuxième album de Fredericks Goldman Jones voit le jour. Pour ce disque FGJ s’est alloué les services des chœurs de l’Ex-Armée Rouge qui posent leurs voix sur l’album à Moscou. Ce dernier marque la fin du communisme. Un livre « Rouge » accompagné du disque ne tarde pas à sortir. Du côté single « Rouge » cartonne suivit de « Juste après », « Des vies », « Fermer les yeux ».

           

En 1994 Sam Brewski ecrit pour Florent Pagny « Es-ce que tu me suis ?» et « Si tu veux m’essayer ». Après cela, ce fameux Sam ne se fera plus appelé ainsi mais Jean-Jacques Goldman. Lors de la soirée des Enfoirés au Grand Rex, JJ interprète avec Céline Dion « Là-Bas ». Il naît alors une grande complicité et Goldman décide de lui écrire un album.D’autre part la tournée « Rouge » démarre au New Morning à Paris, une salle très intime où Fredericks Goldman Jones s’y produisent au profit d’Amnesty International. Les quelques privilégiés y voit un Goldman très proche du public et qui a complètement perdu sa peur de la scène (Il s’éclate). La tournée se poursuit dans toute la France et avec les chœurs de l’Ex-Armée Rouge.

       

En juin 1995 cette tournée donne encore une fois naissance à un live, et un double monsieur, intitulé très justement « Du New Morning au Zénith ». Cet album contient une partie acoustique :Le New Morning ; et une partie très électrique sur la route du Zénith. Il se vendra à 600 000 exemplaires. La même année JJ a achevé l’album français de Céline Dion. Il sort sous le nom « D’eux » et fait de Céline une star invétérée. Toutes les chansons sont des tubes, et surtout « Pour que tu m’aimes encore » qui sera la chanson de l’année des victoires de la musique 1996. Elle restera 16 semaines numéro 1 des ventes, et l’album le sera pour 44 semaines. 1995  est aussi l’année de la deuxième collaboration de Johnny avec Goldman qui donne naissance à « Lorada ». « J’la croise tous les matin » sera le titre far de cet album.

       

En 1996 « D’eux » est l’album de l’année. JJ écrit deux chansons à Khaled dont « Aïcha ». Sony s’inquiète de voir JJ écrire pour les autres mais de ne pas retourner en studio. Il sort alors sa première compilation SINGULIER, c’est un double best of comprenant que des titres de Goldman mais pas de FGJ. Il peut ainsi continuer à écrire pour les autres. Ce qu’il fait pour l’album de Carole Fredericks « Springfield » qui sort sous sa propre maison d’édition JRG.Cette année la sort la compil’ des restos et le cd de la soirée.

       

En 1997 « Aïcha » est élue chanson de l’année aux victoires de la musique. JJ réécrit pour Patricia Kaas. Mais 1997 est surtout l’année du grand retour de Jean-Jacques Goldman en solo. En effet JJ nos livre d’abord un nouveau single « Sache que Je » en Juillet puis son nouvel album « En passant », très acoustique, personnel et considéré comme l’album de la maturité. Il sera disque de platine dès la première semaine.

          

En 1998 Goldman remonte sur scène mais seul. Il est accompagné de Michaël Jones qui le seconde à la guitare. Il s’accompagne de ses musiciens habituels, Claude Leperon, Christophe Deschamps, Christophe Nègre, Jacky Mascarel, et JR à l’accordage. Le concert est très simple, tout le contraire du précédent. Un seul bémol, la chanson « En Passant » qui s’intègre assez mal musicalement au concert n’est pas programmée, alors que la tournée porte son nom.Pendant la tournée les nouveaux tubes s’enchaînent : « On ira », « Bonne Idée », « Quand tu danses » ou même « Tout était dit », « Nos mains ». 1998 donne aussi naissance au dernier bijoux que JJ a concocté pour Céline Dion qui cartonne encore une fois avec « Il suffisait d’aimer » et des titres comme « Zora Sourit » ou même la chanson du titre de l’album. Elle fera par la suite le Stade de France ou Goldman invité y vivra un moment difficile, il casse une corde devant le stade plein à craquer, mais il s’en sortira en faisant comme si de rien était.JJ s’occupe aussi d’écrire pour la BO d’Astérix et Obélix mis à l’écran par Claude Zidi ; un titre à retenir « Elle ne me voit pas » qui sera reprit sept fois dans le monde entier.

      

En 1999 la tournée s’achève et le double album live «Tournée En passant 98 » sort en même temps que la vidéo du concert au Zénith. On y trouve surtout une nouvelle version de « Pas toi » ou plutôt des nouvelles versions car JJ la joue reggae, hard rock, rap, valse, tango. Une version qui me touche beaucoup de « Là-bas » mais aussi « Le rapt » du premièr album qui a été revisitée. Fin 1999 les Enfoirés entament une tournée dans toute la France et finissent à Paris pour la finale.

         

En 2000 JJ fait une apparition télévisée à un Tapis Rouge consacré à Bigard qui l’avait invité, il y jouera « On ira ». Un livre paraît pour célébrer les 15 ans des restos du cœur. Goldman est élu deuxième meilleur artiste français derrière Jacques Brel, dans le cœur des français. Le 12 septembre Fredericks Goldman Jones sont de retour pour un best of, logiquement appelé Pluriel. Le coffret SINGULIER / PLURIEL à suivit et surtout l’intégrale des années 90 est sortit. A noter que Goldman a écrit une chanson pour l’album de Yannick Noah, et une autre pour de Palmas.

Morgan CUGERONE

Cette biographie est inspirée de différents sites sur Goldman.

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